Le Saint-Graal est sur Maisonneuve et Saint-Hubert
Je commençais à désespérer... Ça faisait un an que je recherchais ça dans le centre de Montréal. Et voilà que cet après-midi, je l'ai trouvé.
Quoi donc ? Un fil à couper le beurre ? Non. Une photo d'André Boisclair dédicacée par Ségolène Royal ? Non. Le Saint-Graal ? Vous y êtes presque : une librairie qui possède un rayon manga digne de ce nom.
Mes vaines recherches sur internet et au gré de mes périgrinations downtown ne m'avaient conduit au mieux que dans des méga-librairies style Renaud-Bray ou Archambault (les "Fnac" locales) qui proposaient un pauvre présentoir et son morne minimum syndical.
Mais aujourd'hui, tout a changé. À deux pas de la Grande bibliothèque nationale (et quand je dis à deux pas, c'est 50 m...), la librairie Le Marché du livre.
En un an, j'avais dû passer devant une dizaine de fois, sans être jamais entré. La faute à la devanture qui met l'accent sur le livre d'occasion et pas sur la BD (alors que la librairie y consacre un étage entier !).
La section manga de la boutique a été intégralement développée par une "maudite française", auparavant spécialiste parisienne de ces "images dérisoires", venue passer quelques temps dans la Belle Province. La pionnière est repartie dans l'hexagone, non sans avoir laissé en héritage un rayon de BD japonaise fort alléchant. Une spécialité que la librairie se fait depuis un devoir d'entretenir.
Depuis plus d'un an, j'avais sérieusement levé le pied côté manga, faute de source d'approvisionnement convenable. Même la proche et susmentionnée Grande bibliothèque n'avait guère de quoi étancher ma soif. J'étais à deux doigts de m'inscrire aux Mangaphiles Anonymes.
Mais là, je crois bien que je vais faire une rechute...
Quoi donc ? Un fil à couper le beurre ? Non. Une photo d'André Boisclair dédicacée par Ségolène Royal ? Non. Le Saint-Graal ? Vous y êtes presque : une librairie qui possède un rayon manga digne de ce nom.
Mes vaines recherches sur internet et au gré de mes périgrinations downtown ne m'avaient conduit au mieux que dans des méga-librairies style Renaud-Bray ou Archambault (les "Fnac" locales) qui proposaient un pauvre présentoir et son morne minimum syndical.
Mais aujourd'hui, tout a changé. À deux pas de la Grande bibliothèque nationale (et quand je dis à deux pas, c'est 50 m...), la librairie Le Marché du livre.
En un an, j'avais dû passer devant une dizaine de fois, sans être jamais entré. La faute à la devanture qui met l'accent sur le livre d'occasion et pas sur la BD (alors que la librairie y consacre un étage entier !).
La section manga de la boutique a été intégralement développée par une "maudite française", auparavant spécialiste parisienne de ces "images dérisoires", venue passer quelques temps dans la Belle Province. La pionnière est repartie dans l'hexagone, non sans avoir laissé en héritage un rayon de BD japonaise fort alléchant. Une spécialité que la librairie se fait depuis un devoir d'entretenir.
Depuis plus d'un an, j'avais sérieusement levé le pied côté manga, faute de source d'approvisionnement convenable. Même la proche et susmentionnée Grande bibliothèque n'avait guère de quoi étancher ma soif. J'étais à deux doigts de m'inscrire aux Mangaphiles Anonymes.
Mais là, je crois bien que je vais faire une rechute...
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home